Faire une psychothérapie
À première vue, les personnes qui vont voir un psychothérapeute sont motivées par un désir de changement. À savoir, un besoin de se défaire d’une souffrance, ou bien une nécessité d’exister et de vivre mieux avec soi-même ainsi qu’avec les autres. En second lieu, ces personnes peuvent souhaiter mieux se connaître afin de développer leurs potentialités. Au fond c’est le malaise, le mal-être, la douleur, les impasses existentielles, le choc traumatique, l’angoisse, l’épuisement,… qui poussent ces personnes à consulter un psy.
LE MONDE DE LA PSYCHOTHÉRAPIE
Tout d’abord, il a longtemps été associé à celui de la psychiatrie. Il faut dire aussi que le monde de la psychiatrie était lui-même associé à : « c’est pour les fous ». Donc, aller voir un psy pouvait signifier qu’on était fou. De ce fait il valait mieux ne pas y aller. À l’heure actuelle, il est devenu plus courant de suivre une psychothérapie pour trouver une issue à sa souffrance ou à ses difficultés, en effet, on sort de l’idée que cela relève de la maladie mentale. Il n’est pas rare, de nos jours, d’entendre des expressions comme « je consulte quelqu’un », « je me fais aider »… pour signifier que l’on a fait appel à un psy pour sortir de ses difficultés personnelles et relationnelles.
Quand les personnes s’adressent à un psychothérapeute c’est parce qu’elles sont mobilisées par le fait d’arrêter de souffrir, se débarrasser des insatisfactions…
Leur attente en allant voir un psychothérapeute peut être alors de trouver un « remède ». Nul doute que ce mouvement se réfère au modèle médical. En pareil cas, il faut vite trouver « un truc » pour effacer les traces des épreuves de la vie. En second lieu, une autre attente serait d’être comme ceux qui vont bien et qui savent comment s’y prendre dans la vie. Encore une fois, il y a « un truc » à s’approprier. En résumé, soit premièrement la personne est dans une attente du type « retour comme avant », soit deuxièmement elle est dans une attente du type « modèle qui marche ». Toutefois, on peut envisager d’autres approches du type « comment je peux traverser cette épreuve ? » ou bien « comment je m’y prends dans ma vie ? », ou encore « quel sens a tout ça ? »…
Les situations que j’accompagne
en
tant que thérapeute
Les difficultés relationnelles, qu’elles concernent les relations amoureuses, familiales, amicales ou bien professionnelles, sont, de la même manière des raisons légitimes pour venir rencontrer un gestalt-thérapeute.
PARMI CES DIFFICULTÉS ON RETROUVE
Des séparations et des échecs sentimentaux qui se répètent.
Des tensions récurrentes avec ses collègues de travail, avec les membres de sa famille.
Les problèmes de couple.
Difficultés et souffrances liées à la maternité.
Difficultés et souffrances liées à la paternité.
Des difficultés liées à la séparation d’un proche.
Difficultés et souffrances relatives à la parentalité (cellule familiale mono parentale, couple parental, familles recomposées).
L’isolement affectif.
Les relations d’emprise ou de dépendance à l’autre.
Les relations passionnelles et destructrices.
La violence conjugale ou avec ses proches.
Les relations de séduction ou d’agressivité.
Burn-out, bore-out, brown-out.
Difficultés à se positionner, à donner son point de vue, à dire non, à dire oui.
Difficulté à exprimer son désir.
Sentiment d’être arrivé au bout de quelque chose.
Sentiment de perdre pied.
Angoisses, anxiété.
Troubles psychosomatiques.
Difficultés liées au handicap.
Victime de harcèlement.
Sentiment d’insécurité.
Modalités
Tarif : 60 €/séance.
Les problèmes financiers ne doivent pas être un obstacle à votre thérapie, nous pouvons en discuter.